Publicité | Syndicat Français de la Critique de Cinéma 1961 : Prix du meilleur film. 88 abonnés Ennuyeux au possible on a vraiment l'impression que grand-papa a pris sa caméra pour s'amuser un moment (preuve en est le plans coupés à la va te faire foutre et les dialogues inutiles). C’est l’histoire d’une fille et d’un type qui, dans la même ville, dans la même rue, dans le même lit, quoi qu’il arrive, sont toujours séparés par l’Océan Atlantique. Même s’il avait un penchant pour Hitchcock (en tout bien tout honneur bien sûr), il nous fit découvrir d’autres horizons, dont celui de la Nouvelle Vague. Les dialogues sont toujours les même bref on s'ennui a mourir !! C’est une histoire où la violence surgit sans crier gare. Des digressions n'en veux-tu, n'en voilà ! Un titre célébrissime.Le film-étalon de la Nouvelle Vague.L'influence de "A bout de souffle" sur l'évolution même du cinéma moderne ne se discute pas.Après,il y a les pour et les anti Godard.Je suis un anti,pour tout un tas de raisons.Cela dit,c'est assez émouvant de revoir ce film en intégrant qu'en 1959,on n'avait encore jamais vu ça:une telle liberté d'expression revendiquée,le reportage d'une jeunesse en recherche de nouvelles valeurs,la création du cinéma artistique et référencé.Au milieu de ces bouleversements,une histoire d'amour peu banale entre un voyou charmeur et une pigiste lunaire.C'est l'époque où amour ne rime plus avec toujours,où la confiance implique la trahison,où tous les repères sont bouleversés.Inutile de dire que Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg sont entrés dans la légende du 7ème art,lorsqu'ils flirtent sur les Champs Elysées ou lors de la tuerie finale.Pour ce qui est de la manière de filmer de Godard,je n'adhère pas,mais alors pas du tout,même si l'on doit lui connaître une sophistication à petits moyens:invention de l'ellipse,voix post-synchronisées,absence de script,son de la rue...Un maelström d'impressions visuelles et sonores qui lasse vite.Une idéologie franchement discutable. Cinafilm propose des critiques des principaux critiques et utilisateurs. D'accord. Résumé : Michel Poiccard, jeune homme insolent, vole une voiture à Marseille pour se rendre à Paris. Même si l’audace de la réalisation qui attirait les éloges ou les quolibets à l’époque parait bien sage des décennies plus tard, le film conserve, comme c’est le cas pour certaines œuvres d’avant-garde produites à cette époque, une place bien a lui dans l’évolution du 7 ième art. Merci pour votre compréhension. C’est l’histoire de toutes les filles qu’on ne comprend pas parce qu’elles parlent une langue étrangère. C’est l’histoire d’un type qui a décidé qu’il ne coucherait qu’avec une seule fille et d’une fille qui a décidé qu’elle ne se refuserait qu’à un seul type. C’est l’histoire d’un type qui se fourre dans la gueule du loup et d’une fille qui ouvre la bouche. Il va déployer tout un ensemble de procédés dans le but de mettre en évidence l'artifice du cinéma. Quel est donc ce drôle d'air qui flotte autour de Jean Seberg en Américaine à Paris et Jean-Paul Belmondo en truand amoureux irradient ce premier film culte de Godard, manifeste de la Nouvelle Vague. Belmondo et le mythe Godard. C’est un film sentimental qui se fait trouer par le polar. On est obligé de se séparer, lorsqu’on dort. Alors qu’à travers Jean Sebert on perçoit le déchirement qui l’habite entre son admiration pour l’attitude frondeuse de Michel et la raison qui lui fait réaliser la fatalité de cette relation. La classe de Bébel et les petits dialogues sympas de la partie centrale ne peuvent combler la vacuité du scénario. Un film qui permit au monde entier de découvrir le talent de ce monstre sacré du cinéma français, de cet acteur mythique qu'est Jean-Paul Belmondo. C’est l’histoire d’un type qui, dès qu’il s’arrête de courir, meurt. j'avais l'impression d’être dans ma propre tête, des pensés que je partageai que je comprenais aussi. En effet, entre une mise en scène peu prenante et des rebondissements presque inexistants on est droit de se demander quelle mouche avait piquer les critiques de l'époque. En plus c'est film avec notre Belmondo national et Jean - Luc Godard ! L’histoire de la cinématographie place À bout de souffle parmi les œuvres initiatrices de la Nouvelle vague. En disant cette phrase, l’air de rien, Jean Seberg définissait avec poésie de la Nouvelle Vague, et notamment le cinéma de Godard. Juste pouvez't prendre au sérieux…, Merde inutile de film, tout en style et aucune substance qui seraient ok, mais le style est gay…, Essaie d'être cool et oublie d'être intéressante et plaisante…, J'ai'ai vu ce film. En voici un bel exemple. C’est le cinéma qui sort de ses gonds. aVoir-aLire.com, dont le contenu est produit bénévolement par une association culturelle à but non lucratif, respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. C’est aussi une jeunesse qui ne demande qu’à s’absoudre, une envie pressante de mouvements roulant à toute berzingue sur les... Lorsqu’on ferme les yeux, on se retrouve seul en... Cette vitalité, c’est celle d’un film qui cherche à capter l’air de son temps, la spontanéité du monde et non sa formule préconçue. C’est une histoire possible des rapports entre la France et les États-Unis. C’est une histoire qui se passe à Paris, avec ses avenues qui tremblent, ses places qui sautent, ses petites rues sans fin, ses passages secrets et ses appartements poudrés de lumière. Plutôt étonnant pour une œuvre qui reçut le Prix Jean Vigo, ainsi que celui de la Mise en scène lors du Festival de Berlin en 1960 et devint par la suite, le film-phare de la Nouvelle Vague, alors que bien avant cela, son collègue François Truffaut avait réalisé l’excellent Les 400 coups (1959). À bout de souffle revient comme s'il ne nous avait jamais quittés. On trouvera même, dans le rôle d’un romancier, Jean-Pierre Melville, cinq ans après Bob le flambeur. C’est l’histoire de la vitesse du monde, des filles qui s’y adaptent et des garçons qui ne s’y adapteront jamais. Un des films les plus emblématiques de la nouvelle vague. Un récit éclaté où seuls les interprètes sauvent le film, à savoir, le bagou de Jean-Paul Belmondo, à la fois irrévérencieux et persistant, face à la sublime Jean Seberg, leur charisme parvient à ne pas trop nous faire regretter cette escapade fatigante et interminable. Je déteste vraiment ce style de film…, À bout de souffle (1960) - Détails du film, À bout de souffle (1960) - 599 Critiques de Films, À bout de souffle (1960) - 570 Avis d'Utilisateurs, À bout de souffle (1960) - 29 Avis des Critiques. Les 60's (et le reste du cinéma moderne) a commencé ici…, J'ai essayé. Cet hommage au précurseur de la Nouvelle Vague rappelle d’ailleurs que Godard n’a pas tout inventé. Lire ses 5 824 critiques, Suivre son activité le site www.avoir-alire.com est enregistré à la CNIL sous le numéro : 1033111. Un des hommes qui m'a rendu fou amoureux de cinéma vient de mourir. Critique de À bout de souffle par SanFelice. 15 abonnés C’est Michel Poiccard. C’est l’histoire d’un type qui choisit d’attendre alors que tout le pousse à agir. Oser faire ça c'est juste incroyable. " - Quelle est votre ambition dans la vie ? Les films révolutionnaires sont rarement les plus intéressants. Mais vu aujourd'hui il fait pitié. C’est une série noire. L’amour des séries B américaines, de Bogart ou de William Faulkner, est cité dans d’autres passages. A noter qu’il existe un remake US de 1983 réalisé par Jim McBride avec dans le rôle principal : Richard Gere ! OK, film référence, faisant partie de cette "nouvelle vague" qui déferle sur le cinéma français. Lire l'avis à propos de À bout de souffle, Alors je comprends qu'on est là dans une période de nouvelle vague et que "Wesh nous on veut faire du cinéma différent, fuck les règles" sauf que... faut pas faire n'importe quoi non plus. On pourrait débattre pendant des heures sur l'impact du film de Godard, notamment en raison de sa totale liberté d'expression mais passons à la critique: « A bout de souffle », c'est du Godard pur jus: il n'y a pas de scénario, il n'y a aucun fil conducteur, les dialogues sont quand même assez fades et ne dépend que de la performance de ses deux comédiens. On dirait un tournage d'un mec qui n'y connait rien en... Par Peter Rainer (17,998) pour Christian Science Monitor (24,328) sur 10 juin 2010, Par Michael Phillips (16,713) pour At the Movies (175) sur 20 juin 2010, Par Peter Bradshaw (8,310) pour Guardian (4,617) sur 24 juin 2010, Par Ella Taylor (5,756) pour Village Voice (48,231) sur 25 mai 2010, Par Jeffrey M. Anderson (3,589) pour Combustible Celluloid (2,656) sur 08 sept. 2002, Par Dave Calhoun (3,236) pour Time Out (22,168) sur 23 juin 2010. «A bout de souffle»: un titre très célèbre qui traverse les décennies. C’est l’histoire d’un type conséquent : il meurt de ce par quoi il a vécu. 1 étoile malgré tout pour l'excellente interprétation de Belmondo et pour l'importance historique du film. C’est l’histoire d’un type qui n’aime pas la musique, sauf le Concerto pour clarinette de Mozart. 123 abonnés Un film explosif, aucune seconde de répit, des acteurs charismatiques, des dialogues cultes, une qualité d'image absolument irréprochables, un scénario très profond ... bon OK j'arrête ! Scénario désastreux qui tourne en rond du début à la fin, le travail d'écriture de Godard et Truffaut surprend par sa basicité. C’est l’histoire d’un type recherché par les flics pour avoir buté l’un d’entre eux. C’est une série B. C’est une question de vie ou de mort. 633 abonnés C’est l’histoire d’un type qui conduit une bagnole et dit : « Il ne faut jamais freiner.